Comme d’autres communes par le passé, Marly a décidé de mandater l’association REPER pour maintenir le calme dans ses rues et créer du lien avec ses jeunes en difficulté.
21 mai 2024 à 12:05, mis à jour le 31 mai 2024 à 00:04
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Comme plusieurs autres communes du canton par le passé, Marly fera elle aussi appel à un travailleur social de rue de l’association REPER.
Cette décision a été prise à la suite d’une expertise de terrain effectuée auprès des «adolescents et des jeunes adultes en situation de vulnérabilité», annonce-t-elle ce mardi par voie de communiqué.
Conclusions de cette prise de température? «Malgré l’absence de problématique brûlante et d’altercations entre jeunes, la situation actuelle n’est ni idéale ni acquise. Des mesures sont à prendre pour éviter que ne se développe un sentiment ou une situation de mise à l’écart de certains jeunes avec la collectivité locale», assure la commune.
Pour cette raison, son conseil général a accepté en décembre 2023 de mandater un travailleur social de REPER afin d’effectuer cette tâche jusqu’au mois de décembre 2025.