Danse du fer et de l’éther, l’art mouvant du sculpteur américain fait l’objet d’une exposition rare à Lugano, où l’on retient son souffle. Visite.
10 mai 2024 à 00:00, mis à jour à 14:50
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«Prière de ne pas souffler.» Si possible, de ne pas respirer. L’espace est ponctué d’élégances fragiles, traversé de traits si légers qu’un regard suffit à les animer. On le dit sculpteur, Alexandre Calder (1898-1976), pourtant c’est un oiseleur, dont les proies ont des airs d’art.