Le photographe présente deux séries de clichés dans des galeries fribourgeoises, Humus à Trait noir et Reflets anonymes à La Cabinerie.
5 février 2025 à 10:39, mis à jour à 14:59
Temps de lecture : 3 min
Temps de lecture : 3 min
«Chaque photographie raconte une histoire. Et, à chaque fois, la lumière constitue l’écriture de ce récit.» Utiliser la lumière comme d’autres empoigneraient un stylo pour analyser leur rapport au monde, en souligner ses beautés ou ses faiblesses, le photographe fribourgeois Bruno Maillard s’y adonne depuis longtemps.
