4 juillet 2024 à 00:00, mis à jour le 9 juillet 2024 à 16:08
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La lumière ondoie dans les feuillages de l’été inespéré, tremble avec les ombres sur le gravier où poussent des fleurs rares. Il y a de l’air, il y a de l’art, sur l’esplanade du château de Gruyères. Une trentaine d’images rayonnent sous les frondaisons, d’autres encore illuminent les espaces intérieurs. Deux propositions inquiètes de nature, qui avec des moyens différents disent au fond la même chose: regardons où nous mettons les pieds, il est là, le paradis perdu.