«L’Ange blanc». Le photographe genevois Niels Ackermann, qui vit à Kiev, signe un superbe reportage sur la jeunesse de la ville de Slavoutytch, dont les habitants continuent de panser la centrale nucléaire de Tchernobyl.
4 mai 2016 à 14:02, mis à jour le 20 juillet 2024 à 02:08
Niels Ackermann n’est assurément pas un jeune homme comme les autres. Au plus fort de la guerre entre la Russie et l’Ukraine, l’an passé, il quitte Genève et part vivre à Kiev. Par amour pour une femme, mais aussi par amour pour un pays dans lequel il se sent généreusement accueilli, un pays en plein mouvement, et pour lequel les...