Avec le sapin et la dinde, les séries

La «magie de Noël» déborde des comédies romantiques pour envahir les séries.

La pauvre Johanne, reléguée avec les gosses.

Aurélie Lebreau

Aurélie Lebreau

20 décembre 2019 à 16:44, mis à jour le 20 juillet 2024 à 04:29


Entre réjouissances et angoisse, les tensions ont déjà commencé à se cristalliser dans 80% des familles (soyons lucides). Entre l’oncle raciste, la belle-sœur idiote, les neveux moins éduqués que des chiots doberman, le repas qu’on n’a pas envie de cuisiner et les cadeaux pas encore achetés, il est finalement compréhensible d’avoir la boule au ventre. Autant lâcher prise et regarder...