En vers criblés d’éclats d’obus et de beauté, le poète palestinien Mosab Abu Toha documente la survie dans l’enclave assiégée.
16 novembre 2024 à 09:00
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«C’est très difficile, mais nous ne pouvons pas laisser le monde croire que nous abandonnons», assure Mosab Abu Toha, dont la voix s’élève malgré la vie ensevelie. Des souvenirs d’une enfance dans le nœud coulant de Gaza, le poète palestinien compose des tableaux tragiques qui disent l’horreur au quotidien – un missile rate sa cible, tombe dans le champ voisin, et «la poussière recouvre le thé comme la mousse d’un café au lait».
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