L’illustratrice française, connue pour ses bestioles gavées à l’absurde, a reçu mercredi le Grand Prix du Festival d’Angoulême.
31 janvier 2025 à 09:47, mis à jour à 15:44
Temps de lecture : 2 min
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Si Mona lisait, elle ressemblerait peut-être à cet insondable chien aux oreilles frisottantes, sourire mystérieux perdu dans le museau, tandis que la pelisse est devenue un boa benêt. Mais Mona heureusement ne lit pas les bandes dessinées d’Anouk Ricard, qui en 2021 signait cette affiche de l’expo Mona Lôzane imaginée par BD-FIL pour «rendre hommage et massacrer» le chef-d’œuvre de la Renaissance…