Dans son troisième roman, la Vaudoise met en scène, avec une délicatesse quelque peu monocorde, «des gens qui ne faisaient pas de bruit».
23 août 2024 à 00:00, mis à jour à 16:13
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Son écriture néoramuzienne avait l’évidence des révélations. Au seuil de la trentaine, Fanny Desarzens recevait l’an passé un Prix suisse de littérature pour Galel, premier roman très remarqué aux puissantes saveurs minérales, aux airs alpins universels. Un roman familial plus tard, la Vaudoise fait son retour en cette rentrée avec Ce qu’il reste de tout ça, ramuzien toujours dans sa manière délicate de poser les jours «les uns à côté des autres».