Mais parfois il s’y baigne, l’écrivain-marcheur Daniel de Roulet, qui a trempé sa plume dans les lacs frontaliers du monde entier. Interview.
25 février 2025 à 10:41
Temps de lecture : 3 min
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Qu’elles soient de röstis, de langue ou de nation, Daniel de Roulet aime à longer les frontières, ces lignes invisibles superposées au paysage. Depuis plusieurs années, ce marathonien des lisières, qu’il enjambe volontiers au même titre que les genres littéraires, s’est donné pour objectif d’arpenter celles liquides qu’enserre la géopolitique. Sur les centaines de lacs frontaliers du globe, il en a donc arpenté une vingtaine, petit calepin en main, stylo dans l’autre.