Invité au Bad Bonn samedi soir, le musicien établi à Berlin frappe un grand coup dans l’héritage traditionnel iranien.
20 septembre 2024 à 00:00, mis à jour le 23 septembre 2024 à 09:31
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Le tombak est un instrument de percussion qui fait «tom» dans les graves et «bak» dans les aigus. Rien de plus simple! Mais sous les doigts de Mohammad Reza Mortazavi jaillissent mille autres syllabes. C’est une symphonie prolixe, une leçon d’éloquence qu’il viendra déployer samedi soir au Bad Bonn, après avoir fait résonner les salles de tous les continents, de la Philharmonie de Berlin au Hong kong Cultural Centre en passant par l’Opéra de Sydney.