«Il n’y a pas de raison de penser que 2024 sera une année plus dangereuse», selon le géopolitologue Frédéric Encel

Après une année lourde en événements dramatiques, le tensiomètre géopolitique va rester gonflé en 2024: aux crises en cours vont s’ajouter des élections majeures à venir. Frédéric Encel relativise et observe des signes d’apaisement.

Fédéric Encel s’attend l’an prochain au départ du premier ministre israélien Benjamin Netanyahou (photo) et à la «démilitarisation» du Hamas, des conditions pour un retour aux négociations. © Keystone

Thierry Jacolet

Thierry Jacolet

29 décembre 2023 à 20:45, et 20 juillet 2024 à 09:00

time16

1



Le titre de la section : Dans la même rubrique