La nouvelle loi cantonale soumise à votation le 22 septembre répond à un réel besoin, car de nombreux Fribourgeois ont besoin d’un soutien pour élever leurs enfants, estime François Mauron, rédacteur en chef de La Liberté.
10 septembre 2024 à 17:40, mis à jour à 23:52
Temps de lecture : [object Object] min
Temps de lecture : [object Object] min
A l’instar des autres pays occidentaux, la Suisse vieillit. La raison: les nouveau-nés se font toujours plus rares. En 2022, le taux de natalité s’est établi à 1,39 enfant par femme, soit l’un des plus faibles du globe. Cela correspond à 9,3 naissances pour 1000 habitants. Cette situation engendre plusieurs problèmes, comme des pénuries de main-d’œuvre dans certaines branches économiques ou une fragilisation de nos assurances sociales, financées par les jeunes générations au profit des personnes plus âgées.
En proie à des problèmes de rentabilité, Groupe E veut biffer 188 emplois. L’entreprise ressemble un peu à la grenouille qui a voulu se faire aussi grosse que le bœuf. Elle doit à présent définir une stratégie claire pour l’avenir, selon François Mauron, rédacteur en chef.
St-Paul Médias prend des mesures afin de retrouver l’équilibre financier. Le délai de bouclage de La Liberté sera ramené en début de soirée. La Liberté va donc devoir évoluer, mais elle croit plus que jamais en sa mission, selon François Mauron, rédacteur en chef.
Avec ses droits de douane, Donald Trump a déstabilisé l’économie planétaire et provoqué une panique boursière mondiale. Cette politique du pire s’opère au détriment de ceux qui l’ont élu, selon François Mauron, rédacteur en chef de La Liberté.
Les Etats-Unis introduisent des droits de douane contre la planète entière. Cela augure le pire pour l’économie mondiale. Particulièrement visées, les entreprises suisses devront inventer des stratégies d’évitement, selon François Mauron, rédacteur en chef de La Liberté.
Les comptes 2024 de l’Etat de Fribourg sont équilibrés. Comme d’habitude. L’esprit comptable qui régit l’action du Conseil d’Etat annihile toute vision politique, déplore François Mauron, rédacteur en chef de La Liberté.
