En peinant à trouver des candidats pour le Conseil fédéral, le Centre s’est mis en difficulté. Son fauteuil gouvernemental n’est pas à l’abri d’une candidature sauvage émanant d’un autre parti, selon François Mauron, rédacteur en chef de La Liberté.
3 février 2025 à 19:32, mis à jour à 23:47
Temps de lecture : 2 min
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Le suspense est enfin terminé. Alors qu’elle aurait dû servir de rampe de lancement à un parti se voulant en mode reconquête, la recherche de candidats du Centre pour la succession de Viola Amherd au Conseil fédéral a viré à la plus rocambolesque des pantalonnades – les plus jeunes parleraient de sketch. Les personnalités en vue de l’ancien PDC se sont dérobées les unes après les autres, chacune avançant comme excuse une obligation beaucoup plus importante que la conduite du pays.
