L’autorité de poursuite estime qu’il existe un soupçon d’une commission d’infraction pénale de discrimination et incitation à la haine.
3 avril 2025 à 17:52, mis à jour à 22:57
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Trois ans de prison au plus ou une peine pécuniaire. Voilà la sanction qui pourrait être infligée aux responsables des tags peints sur les vitrines des commerces payernois durant les brandons début mars, indique Vincent Derouand responsable communication au Ministère public vaudois.