Pour traiter les micropolluants, les stations d’épuration doivent mettre en place de nouvelles installations. Celles-ci risquent d’empiéter sur l’espace réservé aux eaux. Un mal nécessaire, pourtant pas sans impact sur les écosystèmes.
19 janvier 2025 à 18:18, et} 20:57
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C’est un important défi auquel sont confrontées les stations d’épuration (STEP). Ces installations doivent se tenir à jour et assumer de nouvelles tâches: celles situées au bord d’un cours d’eau pollué ont jusqu’à 2035 pour mettre sur pied une étape d’épuration supplémentaire destinée à l’élimination des micropolluants. Or, puisqu’une telle entreprise nécessite de nouvelles infrastructures, les STEP doivent étendre leurs activités au bord de l’eau, parfois jusque dans l’espace réservé aux eaux (ERE), ce qui nécessite une demande de dérogation.
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