Au XXe siècle, le communisme était la pire hantise du Vatican. Décryptage par l’historien Philippe Chenaux, qui donnera une conférence sur le sujet le lundi 10 juin à l’Université de Fribourg.
7 juin 2024 à 14:42
Temps de lecture : 6 min
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Depuis la révolution d’octobre en Russie jusqu’à la chute du mur de Berlin, le communisme athée a été un «péril majeur» pour le Vatican. Considéré par le pape Pie XII comme «le diable rouge», il a été condamné jusqu’au concile Vatican II, où l’Ostpolitik romaine a permis une certaine détente. Le communisme est toutefois resté une préoccupation pour le Saint-Siège jusqu’à aujourd’hui, en particulier en Chine.