Médecin aux soins intensifs du CHUV, à Lausanne, et président du programme latin du don d’organes, le Docteur Marco Rusca évoque son impuissance face aux patients qui décèdent faute de donneur et des espoirs qu’il place dans le passage à un consentement présumé au sens large. Interview.
27 avril 2022 à 15:08, mis à jour le 20 juillet 2024 à 06:25
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