Faut-il autoriser les nouvelles techniques de sélection, des OGM qui n’en sont pas vraiment car ils existent aussi parfois dans la nature? Albert Rösti est venu défendre le projet face à la presse, mercredi.
2 avril 2025 à 20:17, mis à jour à 22:09
Temps de lecture : 3 min
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Comment justifier une modification ciblée du matériel génétique des plantes sans prononcer l’acronyme d’OGM (organismes génétiquement modifiés)? C’est l’exercice périlleux de communication auquel s’est soumis Albert Rösti devant les médias, ce mercredi. Le ministre de l’Environnement est venu défendre l’idée du Conseil fédéral de consacrer une loi spéciale aux nouvelles technologies de sélection, mise en consultation.
