La ministre des finances paie les mesures d’austérité qu’elle impose au ménage fédéral. Et 2025 ne devrait pas l’aider à redresser sa popularité.
11 décembre 2024 à 17:40, mis à jour à 17:51
Temps de lecture : 2 min
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Avec 168 voix sur 232, Karin Keller-Sutter accédera l’an prochain à la présidence de la Confédération avec un score plutôt bon. Elle reste quand même loin du carton d’Ueli Maurer (201 voix en 2018) ou de Guy Parmelin (188 voix en 2020). Nul doute qu’elle paie les mesures d’austérité qu’elle mène actuellement et qui horripile la gauche du parlement.
Le suspense est levé: c’est la Bâloise d’origine italienne Doris Bianchi qui a été choisie pour remplacer Stéphane Rossini à la tête de l’OFAS, huit mois après l’erreur de calcul dans les chiffres de l’AVS qui a provoqué le chaos.
