Inconnu il y a deux mois, le conseiller d’Etat zougois a battu de 24 voix mercredi le président de l’Union suisse des paysans (USP), le Saint-Gallois Markus Ritter, dans la course au Gouvernement fédéral.
Les chambres élisent ce mercredi matin le successeur de Viola Amherd. A la bagarre, le parlementaire saint-gallois Markus Ritter et le conseiller d’Etat zougois Martin Pfister.
S’il réussissait à être élu face à un ténor du parlement, le conseiller d’Etat zougois Martin Pfister réaliserait un tour de force sans réel équivalent dans l’histoire récente de la Suisse.
Le Conseil national approuve l’idée d’un versement une fois par an, dès décembre 2026. Mais les femmes nées entre 1961 et 1969 sont en partie oubliées.
Tout en dénonçant une fuite qui l’a déstabilisée, la ministre de la Défense s’explique sur des démissions en cascade qui ne justifient pas une telle agitation à ses yeux.
Inconnu il y a deux mois, le conseiller d’Etat zougois a battu de 24 voix mercredi le président de l’Union suisse des paysans (USP), le Saint-Gallois Markus Ritter, dans la course au Gouvernement fédéral.
Les chambres élisent ce mercredi matin le successeur de Viola Amherd. A la bagarre, le parlementaire saint-gallois Markus Ritter et le conseiller d’Etat zougois Martin Pfister.
S’il réussissait à être élu face à un ténor du parlement, le conseiller d’Etat zougois Martin Pfister réaliserait un tour de force sans réel équivalent dans l’histoire récente de la Suisse.
Le Conseil national approuve l’idée d’un versement une fois par an, dès décembre 2026. Mais les femmes nées entre 1961 et 1969 sont en partie oubliées.
Tout en dénonçant une fuite qui l’a déstabilisée, la ministre de la Défense s’explique sur des démissions en cascade qui ne justifient pas une telle agitation à ses yeux.