Le Saint-Siège a donné son feu vert à la conservation par les évêques suisses de toutes les archives secrètes concernant les cas d’abus.
Cath.ch
10 avril 2025 à 14:53, mis à jour à 17:39
Temps de lecture : 2 min
Temps de lecture : 2 min
Jusqu’à présent le droit canon prévoyait que les «archives secrètes» devaient être expurgées dix ans après le prononcé d’une sanction pénale ou le décès du coupable. Après la publication, en septembre 2023, de l’enquête préliminaire sur les abus dans l’Eglise catholique en Suisse, les évêques suisses s’étaient engagés à ne plus détruire des archives concernant des cas d’abus sexuels, contrairement aux dispositions ordinaires du droit canon.