Prophéties. «N’ayons pas peur de l’Apocalypse»

Le bibliste dominicain Jean-Michel Poffet l’assure, le texte de Jean est un message d’espérance… Et de bonheur dans une perspective chrétienne.

L’Agneau pascal, figure du Christ sacrifié et ressuscité, au cœur du livre de l’Apocalypse, est représenté dans la plupart des églises – ici un médaillon peint de 1884 dans l’église d’Hauteville.Frédéric Arnaud – Service des biens culturels de l’Etat de Fribourg.

Patrick Chuard

Patrick Chuard

14 novembre 2024 à 17:14, et} 17:36

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Des tremblements de terre, des sauterelles cuirassées de fer, un dragon rouge à sept têtes et dix cornes, la bête de la mer et de la terre… L’Apocalypse, dernier livre de la Bible, passe pour un texte sombre, déroutant, difficile à comprendre. C’est au contraire un livre d’espérance, affirme le bibliste Jean-Michel Poffet. Le dominicain fribourgeois, ancien directeur de l’Ecole biblique et archéologique française de Jérusalem, vient de publier un ouvrage* où il commente et clarifie chaque verset du livre de Jean à Patmos. Avec le souci d’éviter les termes savants et de s’adresser au grand public. De ces prophéties émerge la figure triomphante de l’Agneau pascal et des «éclats d’espérance» pour les chrétiens. Eclairage.


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