Pourtant ambitieux en début de saison, les deux ennemis jurés sont englués juste devant Ajoie. Avec deux «enfants du pays» à la barre, ils présentent des symptômes étonnamment similaires.
Adrien Schnarrenberger, de retour de Lugano
6 janvier 2025 à 18:12, mis à jour à 20:44
Temps de lecture : 3 min
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Dix minutes à jouer à la Cornèr Arena: Marcus Sörensen marque pour la première fois depuis le 22 novembre. Un cinquième «pion» dominical sans réelle conséquence, puisque la victoire de Gottéron est actée depuis longtemps. Mais c’est le but de trop pour une bonne partie des occupants de l’ancienne Resega. «Basta!» s’écrie un nostalgique du «grande Lugano» en dévalant les escaliers. «Heureusement qu’il y a Ajoie…», pouffe Filippo Frizzi, journaliste tessinois croisé sur le banc de presse. Bons derniers, les Jurassiens évitent au canton italophone le camouflet ultime: Lugano et Ambri ensemble au fond de National League. Qu’est-ce qui cloche au sud des Alpes? Beaucoup de choses, à entendre les spécialistes locaux.
