Des associations suisses actives dans ce pays du Sahel s’interrogent après le rapt d’une Zurichoise à Agadez. La piste de sous-traitants locaux serait privilégiée.
Alain Meyer
15 avril 2025 à 20:28, mis à jour à 23:15
Temps de lecture : 4 min
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«Selon le modus habituel, une revendication suit un enlèvement, puis des pressions sont exercées. Difficile d’émettre dès lors une hypothèse sur les raisons qui ont poussé les ravisseurs à agir sans en formuler une.» Président de l’association Echange Agadez Niger au Locle (NE), Laurent Mader rappelle que le rapt en janvier d’une ressortissante autrichienne, également à Agadez, n’a toujours pas été revendiqué, lui non plus.