Le soir, à l’heure des journaux télévisés, l’angoisse gagne les fidèles au poste.
11 mars 2025 à 21:47, mis à jour à 23:40
Temps de lecture : 3 min
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Tout va mal. Le soir aux heures des journaux télévisés, l’angoisse gagne les aînés. Regarder les nouvelles n’est plus un rituel, pour beaucoup, mais un supplice. A les en croire, certains fidèles désertent cette messe. Air entendu mille fois: «Les nouvelles, je n’ose plus les regarder. L’Ukraine, Israël et tous ces malheurs partout, c’est trop!»